En nuisette il l’a trouvait chouette,

Mais quand il l’a vu nue, c'est là, qu’elle lui a plu...

Il l’a sauvagement arrachée,

Pour, ensuite, avec, la ligoter...

Elle était à la fois, tétanisée,

Mais au fond d’elle très excitée...

Sur le lit, il l’a poussé pour l'embrasser,

La caresser, puis la pénétrer...

Dans un mouvement de reins effréné,

En elle, il s’est soulagé...

Pour enfin la libérer,

Et dans ses bras, la serrer...

Juste énorme! Magique! Emotion à gogo!

Tu as croisé ma route,

Et depuis en moi s’installe le doute…

Ce qui nous a poussé l’un vers l’autre,

Est une douleur, une faute de l'autre…

C’est ce qui fait que nous nous comprenons,

Que nous conversons,

Mais nous ne savons pas,

Ou nous mènera tout cela…

Mais nous passons de bons moments,

Par les mots et par la voix,

A chaque instant,

Chaque fois…

Ne plus te lire, ne plus t’écrire,

Serait pour moi ce qui pourrait arriver de pire,

Car t’entendre rire et partager tes soupirs,

Est pour moi, un vrai plaisir…

Si pour certains, je suis un mystère

Je ne suis pas du genre à me laisser faire.

J’ai un fort caractère,

Qui parfois, je le reconnais, peut-être galère.

J’ai de bons côtés et des qualités,

J’ai aussi des défauts et un côté mauvais.

Je peux être ange,

Mais aussi démon, même si cela dérange.

Je suis loin d’être parfaite,

Doublée d’une grande pipelette.

Acceptez-moi comme je suis,

Ou passez votre chemin, tant pis…

Le parfum de ta peau,
Me fait frissonner de bas en haut...

Le goût de tes lèvres,
Me donne la fièvre. ..

La caresse de tes mains,
Fait se dresser le bout mes seins...

Ta bouche qui m'effleure,
Fait chavirer mon cœur...

Ton corps sur le mien,
Fait se cambrer mes reins. ..

Ton regard sur moi,
Me met en émoi. ..

Coup de rein ou coup de coeur,
Avec toi je suis bien, je n'ai pas peur...

Je suis rancunière,
Tu me mens, tu paies cher!
Tu te moques de moi,
Tu morfles, t'as pas le choix!

Tu m'as blessé,
Tu vas en baver!
Tu as joué avec moi,
Je vais te faire payer, crois-moi!

Tu as cru que j'étais dupe,
Tu paieras au centuple!
Tu m'as fait croire que tu voulais m'aimer,
Je vais te faire ramper!

Il ne faut pas prendre ma gentillesse,
Pour une faiblesse!
Ma douceur pour un leurre,
Elle est vraie, elle vient du cœur!

"IL", est un complice sexuel, qui, jamais ne se plaint…

Qui nous fait du bien…

"IL", ne parle pas…

"IL", se glisse sous les draps…

Partout, "IL", nous suit…

Lit, bain, canapé…pour toutes nos envies…

"IL", se glisse partout…

"IL", peut être dur, vibrant et doux mais rarement mou…

"IL", ne discute pas les positions…

"IL", ne dit jamais non…

"IL", n’a pas de nom,

Mais parfois un surnom.

Pour la cadence,

On peut lui faire confiance !

"IL", est un amant fidèle,

Mais mon complice coquin est un sextoy,  un objet sexuel !!! :p

Entre nous s’est glissée une complicité,

Une envie de partager,

Une envie d’échanger,

Rien qu’une envie de s’aimer.

Un désir commun de gémir,

De se donner du plaisir,

Une envie de jouir,

L’un contre l’autre s’épanouir.

Un désir profond de se toucher,

Se regarder et s’embrasser,

S’enlacer et se caresser,

S’abandonner et tout donner.

Envie de toi à chaque instant,

Sentir ton corps frissonnant,

La passion se déchainant,

Le désir montant.

Nos souffles haletants,

Prendre son temps,

Pour que tout doucement,

L’orgasme arrive lentement.

Tu as su rallumer la flamme,

Moi, fragile petite femme,

Je t’en remercie,

Demain et aujourd’hui.

Encore des mots toujours des mots les mêmes mots....qui sonnent faux...

Poème adapté à la chanson, à partir des paroles de la chanson...

Balayé par avril

Notre amour de 15 ans

Tristement s'efface
Et se meurt au passé
J'avais beau m'y attendre
Mon coeur vide de tout
Ressemble à s'y méprendre
A Paris au mois d'août

De larmes et de rires
Était fait notre amour
Qui redoutant le pire
Vivait au jour le jour

Chaque rue chaque pierre
Semblait n'être qu'à nous
Nous étions seuls sur terre
A Paris au mois d'août

Pour te dire je t'aime
Aussi loin que tu sois
Une part de moi-même

Reste accrochée à toi
Et moi solitaire
Recherche de partout
L'aveuglante lumière
De Paris au mois d'août

Dieu fasse que mon rêve
De retrouver un peu
Mon Paris et mes rêves...