"IL", est un complice sexuel, qui, jamais ne se plaint…

Qui nous fait du bien…

"IL", ne parle pas…

"IL", se glisse sous les draps…

Partout, "IL", nous suit…

Lit, bain, canapé…pour toutes nos envies…

"IL", se glisse partout…

"IL", peut être dur, vibrant et doux mais rarement mou…

"IL", ne discute pas les positions…

"IL", ne dit jamais non…

"IL", n’a pas de nom,

Mais parfois un surnom.

Pour la cadence,

On peut lui faire confiance !

"IL", est un amant fidèle,

Mais mon complice coquin est un sextoy,  un objet sexuel !!! :p

Entre nous s’est glissée une complicité,

Une envie de partager,

Une envie d’échanger,

Rien qu’une envie de s’aimer.

Un désir commun de gémir,

De se donner du plaisir,

Une envie de jouir,

L’un contre l’autre s’épanouir.

Un désir profond de se toucher,

Se regarder et s’embrasser,

S’enlacer et se caresser,

S’abandonner et tout donner.

Envie de toi à chaque instant,

Sentir ton corps frissonnant,

La passion se déchainant,

Le désir montant.

Nos souffles haletants,

Prendre son temps,

Pour que tout doucement,

L’orgasme arrive lentement.

Tu as su rallumer la flamme,

Moi, fragile petite femme,

Je t’en remercie,

Demain et aujourd’hui.

Un bon repas, un verre de vin ou de champagne,

Royal! Si en plus, tu m'accompagnes.

Un bon film, un canapé,

Toi et moi, en train de papouiller.

Des discussions jusqu'à "pas d'heure",

Parler sans retenue, sans pudeur.

Chahuter, rigoler et s'amuser,

Sans arrières pensées.

La vie est simple, pourquoi la compliquer,

Il suffit juste, durant le moment présent, d'en profiter...

Par un soir de septembre,

Seule dans ma chambre,

Je suis allée tchatter,

Sur toi, je suis tombée.

Ta bouille a attiré mon regard,

Je t’ai salué, à tout hasard.

Nous avons ri puis discuté de tout et de rien,

Ce qui m’a fait beaucoup de bien.

Ton prénom rime avec copain,

Ce qui me va très bien.

Le mien, rime avec amie,

Ce qui me va très bien aussi.

Amis, copains

Ni plus, ni moins.

Nous n’avons rien d’autre à nous offrir,

A part, partager nos fous rires.

Le soir dans mon lit allongé,

Seul et délaissé…

Mes pensées, vers elles sont

tournées,

Je l’imagine à mes côtés :

A sa peau blanche comme la craie,

A sa bouche rouge comme les baies…

A sa douce voix,

Qui des mots doux, me murmure tout bas…

A ses formes voluptueuses,

A son caractère : douce et affectueuse…

A la cambrure de ses reins,

Au galbe de ses seins…

De pouvoir l’aimer jusqu’au petit matin,

Dormir avec elle jusqu’au lendemain…

Me blottir contre elle sans fin,

La caresser de mon corps et de mes mains…

Seul dans mes draps,

Je pense à elle à chaque fois…

Mais je ne peux l’aimer qu’en pensées,

Car malheureusement, nous ne nous sommes jamais rencontrés…

Par un beau matin ensoleillé de septembre,

Elle voit se dessiner sous le drap son membre...

Elle se glisse dessous et le couvre de bisous,

Elle sent à son contact, le devenir moins mou...

Il frôle ses seins un à un,

Il se glisse dans sa main, en un lent va et vient...

Sa langue lèche de bas en haut,

Son corps viril devient tout chaud...

Sa bouche effleure le bourgeon,

Puis l'aspire et le suce tel un bonbon...

Son sexe raide pénètre dans sa bouche jusqu'à la garde,

Alors qu'il  frissonne et la regarde...

S'en suit un va et vient buccale,

Pour en arriver au final...

Son corps frémit,

Sa voix gémit...

Jusqu'à ce que jaillisse sa sève,

Jaillissement, qui apaisera sa fièvre…

Des mots doux, tu lui enverras.                                  

De baisers et de caresses, tu la couvriras.

La tête, jamais, tu ne lui prendras.

De poèmes, tu l’inonderas.

Jamais, tu ne la blesseras.

Sur la bouche, en aucun cas, tu ne l’embrasseras.

De ta femme, jamais tu ne lui parleras.

Plusieurs fois par semaine, tu l’honoreras.

Sa liberté, tu lui laisseras.

Quand elle se lassera, partir tu la laisseras… !

Comme homme objet, jamais, tu ne le traiteras.

Chaque jour, un sms, tu lui enverras.

Chaque semaine, tu l’aimeras.

Complicité, avec lui, tu auras.

Sa liberté, tu lui laisseras.

De sa vie maritale, en aucun cas, tu ne te mêleras.

A lui, jamais, tu ne t’attacheras.

Dans ses bras, tu t’abandonneras.

Jamais, tu ne lui appartiendras.

Quand tout s’arrêtera, jamais, tu ne lui en voudras.

Dans les bras de Morphée,

Hier soir, je suis tombée...

Mais dans mes rêves, je n'ai pas oublié,

De couvrir mon ange de baisers...

Mon ange est passé,

Tendresse et complicité...

Nous nous sommes aimés,

En toute simplicité...

Caresses échangées,

Corps entremêlés…

Aucune timidité,

Echanges et sensualité…

Nous ne formions qu'un,

Tous deux enlacés jusqu’au petit matin…

 Mais à mon réveil soudain,

J’étais seule et tu étais loin…

Une femme n’est pas un jouet,

Elle doit être traitée avec respect…

Dans l’intimité,

Mais aussi au fil des journées…

Elle s’ouvrira telle une rose,

Si vous savez faire « la chose »…

Elle se fermera comme une huitre,

Si vous faites le pitre…

Soyez doux et aimant,

Et vous serez pour elle, le plus doux des amants…

Soyez agressif et brutal,

Vous la perdrez, ce sera fatal…

Protéger là,

Elle vous aimera…

Irritez-la,

Elle partira…